Coronavirus : les trois issues possibles de la crise

Ne nous y trompons pas, la crise du Coronavirus que nous traversons actuellement est systémique. Et il n’y a que trois issues possibles…

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L’évolution est événementielle. C’est l’événement qui fait l’évolution et l’événement -en l’occurrence la circonstance- fait la transformation.Yves Coppens

15 Mar.2020

Nous vivons actuellement un moment très particulier de l’histoire moderne de l’humanité. Jamais depuis l’avènement de l’Homo sapiens sur Terre la mondialisation des échanges et des idées n’a été aussi forte. Si une chose est sûre c’est que, quelle qu’en soit son issue, la crise actuelle liée au Coronavirus sera un chapitre dans le livre de l’histoire du monde. Et il y aura un avant et un après l’épidémie du COVID19. Car ne nous y trompons pas, il s’agit de beaucoup plus qu’une simple crise sanitaire qui débouche sur une crise économique et géopolitique. Il s’agit d’une crise systémique. Une crise liée à la structure même des organisations artificielles que nous, les hommes, avons créé pour gérer notre monde.

Des éléments factuels

Des structures basées sur l’ego de notre espèce et qui, au fil des siècles, ont complètement déformé notre perception aux réalités les plus élémentaires de la vie elle-même. Nous nous sommes englués dans une hypnose collective et notre perception des faits, même des plus simples, est aujourd’hui biaisée.

On entend par exemple, partout que le virus se répand à une vitesse colossale. Mais la réalité factuelle, c’est que ce n’est pas le virus qui se propage, c’est nous qui le propageons, par nos modes de vie et la mondialisation de nos économies.

On nous dit aussi que le virus s’attaque aux personnes ayant les systèmes immunitaires les plus faibles. Mais ce qu’on oublie de dire, c’est que dans la plupart des cas, ces systèmes immunitaires ont été affaiblis par les produits et les conséquences de ces mêmes structures que nous avons créées : déconnexion avec la Nature, manque de sommeil, stress, pesticides, alimentation industrielle, malbouffe, régime carné, graisses, sucres transformés, chimie alimentaire omniprésente, tabac, alcool, drogues, médicaments en tout genre, pollution… etc.

Les grands défis humainsLes grands défis humains

Une autre réalité factuelle, qui sera d’ailleurs peut-être plus dure à entendre pour beaucoup, c’est que si l’on analyse la situation avec suffisamment de recul, on s’aperçoit que ce Coronavirus, n’est pas un virus mais un anticorps. En effet, si l’on part du principe que notre planète est un organisme vivant abritant une multitude d’écosystèmes interconnectés et interdépendants entre eux, ce qui est factuellement le cas, on peut très bien imaginer que, du point de vue de la Terre, le virus, c’est nous !

Et si ce coronavirus était une défense naturelle que notre planète met en œuvre pour se défendre ? Une sorte d’anticorps pour combattre cette espèce qui prolifère en surnombre sur elle en même temps qu’elle s’attache à méthodiquement la détruire ? Car au-delà de la surpopulation humaine (un sujet essentiel mais ultra-tabou et dont le simple fait d’en débattre est d’ailleurs la plupart du temps très mal vu), les ravages que nous affligeons à notre Terre sont massifs !

L’explosion démographiqueL’explosion démographique

Dérèglement climatique, géo-ingénierie, destruction de la biodiversité, continents de plastique, pillage des océans, extermination des requins, pollutions de l’industrie des transports maritimes, disparition des abeilles, déforestation, utilisation massive des pesticides et raréfaction des terres arables, urbanisation du monde, gaz de Schiste, invasion des produits chimiques, pollution de l’air, démultiplication de nos déchets, pollution des fleuves et des rivières, élevage intensif, maltraitance animale, pollution lumineuse, déchets nucléaires, pollution de l’espace… On ne compte plus les dégradations écologiques majeures ainsi que les immenses challenges que nous allons laisser en héritage aux générations futures.

Les grands défis écologiquesLes grands défis écologiques

Depuis le néolithique, nous avons muté. Lentement au début, puis de plus en plus vite pour arriver aujourd’hui à un point de non-contrôle et de non-retour. Ce sont des faits : en à peine 12 000 ans -une étincelle de temps si on les compare à l’âge de la Terre-, nous sommes devenus une force de la Nature qui l’impacte profondément et en transforme littéralement sa destinée.

Trois issues sont possibles à cette crise

Il y a deux manières de voir les choses. Deux approches différentes diamétralement opposées. La première, c’est de suivre celle vers laquelle les médias nous poussent : la peur et l’inquiétude par rapport au futur.

La deuxième, c’est celle de voir et de comprendre que c’est pour l’humanité une opportunité. L’opportunité de penser différemment. L’opportunité de, enfin, transformer notre monde ainsi que les bases bancales sur lesquelles il repose. Car là nous plus ne nous y trompons pas, de la crise que nous traversons actuellement, il n’y a que trois issues possibles :

  • La première issue serait, à l’image de la crise 2008, que à coup de décisions fortes et de centaines de milliards injectés, nous arriverions à contenir l’épidémie en quelques mois, voire quelques semaines. Une issue heureuse dont nous n’apprendrions aucune leçon et qui nous ferait relancer notre machine économique de plus belle. Retardant ainsi ce moment fatidique de l’effondrement qui attend inéluctablement nos civilisations. Un retard proportionnel à la force du crash que nous prendrons dans les dents.
  • La deuxième issue serait, à l’image de la crise de 1929, que le bordel actuel soit de moins en moins maitrisé et qu’il empire de plus en plus. Les dommages collatéraux se démultipliant, ils enclencheraient des réactions en chaine qui aboutiraient sur un conflit mondial. Un conflit majeur qui, à cause du développement exponentiel des technologies militaires de ces dernières décennies, sera d’une violence tellement incroyable que le souvenir de celui de 39-45 nous rendra nostalgique.
  • Mais il existe une troisième issue. Une troisième voie à ce jour inédite dans l’histoire de l’humanité. Une opportunité de repenser complètement nos systèmes et nos rapports -individuels et collectifs- avec la Terre et l’ensemble des autres espèces animales. Nous reconnecter avec la Nature et l’Univers. Sortir de cette logique économique d’une croissance infinie dans un monde fini qui nous amène inéluctablement dans un mur. Repenser notre monde pour en éliminer toutes les structures fondées sur l’ego, le pouvoir et l’argent pour les remplacer par de nouvelles basées sur l’Amour, la connaissance, le développement personnel et spirituel ainsi que le bonheur.

Il est à espérer que nous empruntions le troisième chemin. Celui de passer aux niveaux de conscience supérieurs et de changer ainsi la plupart de nos croyances et de nos comportements.

Les 8 niveaux de conscienceLes 8 niveaux de conscience

Qu’elle soit personnelle ou collective, chaque crise est l’occasion d’ouvrir les yeux, de comprendre nos erreurs et de faire émerger quelque chose de complètement nouveau. C’est peut-être pour nous la dernière opportunité pour le faire. Saisissons-là. Car si ce n’est pas sur ce coup-là, en plus des nombreux grands défis écologiques énumérés plus haut, de nombreux autres virus multi-millénaires encore en sommeil dans les glaces fondantes du permafrost (c’est l’un des cadeaux cachés du réchauffement de la planète) risquent fort de se réveiller très rapidement. Le Covid 19 ne représentera peut-être alors que l’apéritif d’un immense buffet à volonté qui nous remettra -nous les Homo sapiens- à notre juste place : celle d’une espèce insignifiante perdue durant une étincelle de temps sur un minuscule caillou dans l’immensité abyssale de l’espace…

Gérald Vignaud

Gérald Vignaud est le co-fondateur de different.land. Il s’est donné pour mission de contribuer à construire les générations présentes et futures en aidant les gens à développer leurs différences et à démultiplier leurs valeurs.

Environnement et EcologieSolutions aux grands défis du 21ème siècle

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101 Commentaires

  1. MOSTACHETTI Martine dimanche 22 Mar.20 12:32

    Bravo pour ce bel article sur la prise de conscience…j’espère qu’il y aura beaucoup, beaucoup…de lecteurs.
    Bon dimanche.

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  2. Geoff dimanche 22 Mar.20 11:28

    Ne parlons pas d homo sapiens sapiens mais plutôt d homo stupidus… La réalité est là, l homme depuis trop longtemps à été conditionné par le système afin de nous transformer en pantin… Il vit sa vie matérialiste et vit de ses peurs par craintes de tout perdre… C est la fin de la socialisation… On nous parle de distanciation mais combien le font ou le faisaient depuis des années déjà vive Facebook.. Tout ces jeunes devant leur smart au lieu de discuter… Mais comment faisait on avant ??
    La société nous a endoctriné à avoir peur, peur de perdre nos bien matériel, peur de la mort,… La religion me direz vous nous apporte un exutoire mais n oublions pas que la aussi il s agit d un endoctrinement créé par des hommes qui étaient avides de pouvoir… (« tiens ne choisissons pas cet évangile il ne nous apportera rien, celui la par contre ça devrait aller »)
    Le malheur réside dans le fait que beaucoup de personnes ne voient pas la réalité en face mais seulement leur réalité, comme dans l allégorie de la caverne de Platon. Mais il n’est pas trop tard pour changer nos opinions.
    L univers, la nature sont nos uniques parents et malheureusement beaucoup l ont oublié. Nous sommes tous enfants de la terre. Et qui dit enfant, dit innocence, on s emerveille devant la nature les yeux rempli de rêves. « bien heureux les simples d esprit » devrait plutôt être traduit par bien heureux les personnes qui ont appris à penser par eux mêmes et à continuer à rêver en marge du système. Parce qu à partir du moment où nous avons gardé notre âme d enfant, nous gardons notre innocence.

    Depuis quelques temps, beaucoup de personnes ressentent cet appel de la terre et les plus sensibles le ressentent encore plus .
    Nous devons nous serrer les coudes afin d envoyer un maximum d ondes positives, que ce soit par la méditation ou la prière, notre parole sera entendue j en suis sûr.
    N’oubliez pas que l’univers est fait contradiction. Matiere-antimatiere, bien-mal, joie-tristesse, amour-haine, yin et le yang, mort et vie…
    Je ne suis pas gourou mais cela fait maintenant une année que je pratique certaines méditations positives.
    La terre est une entité à part entière, elle est vivante. Essayons de sauver notre mère.

    Répondre
  3. edgar bruneau dimanche 22 Mar.20 11:22

    TOUT EST DIT!!!

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  4. nicole piot dimanche 22 Mar.20 11:20

    comme je comprends ce que vous dites il faut que les gens changent, mais peut etre que c’est d’abord au gouvernement de nous donner l’exemple apres tout le monde suivrait

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  5. jean-marie de keyser dimanche 22 Mar.20 11:13

    Nous vivons dans un monde déséquilibré par l’abandon de l’organisation du vivre ensemble crée par nos ancêtres .Nous avons perdu le respect de( la vie ,des autres ,de la nourriture ,de la nature, du travail manuel, etc..) et oublié le pourquoi du pseudo bonheur matériel .J’ai 76 ans et j’ai connu la période d’après guerre 1940 où nous avions peu de « confort » ( peu de chauffage,pas d’eau courante ,pas de salle de bain,peu d’électricité ,pas de TV, de la nourriture locale etc..) .Mais on savait travailler de nos mains ( ramasser du bois mort, des pommes de terre pour avoir mieux et nous étions heureux! Aujourd’hui tout le monde veut tout et a droit à tout sans effort trop souvent! Ce qui arrive montre combien notre planète est fragile et a de limites ,des balises qu’il ne faut pas franchir et oublier.L ‘Homme de par son orgueil et égoïsme croit qu’il va maîtriser l’Univers!

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    • Albert Volant dimanche 22 Mar.20 17:52

      d’accord avec monsieur de keyser . J’ai 89 ans j’ai connu l’avant guerre avec les périodes de chômage pour les parents. J’ai connu la guerre avec ses privations. L’après- guerre où l’on n’avait pas beaucoup plus. On ne se sentais pas malheureux il n’y avait rien. Les gens se soutenaient entre eux. Le soir on sortait les chaises et l’on discutait sur ce que l’on avait fait dans la journée . C’était le bonheur de l’époque. On ne demande pas que cela revienne, mais on ne devrait toujours espérer trouver le nirvana rien qu’en se baissant. Le paragraphe 3 est celuiqui me convient le mieux. Bravo.

  6. Perot dimanche 22 Mar.20 11:09

    Bienvenue à des points de vue inattendus capables de remettre en cause et en mouvement notre rapport au vivant. Mais comment faire pour éveiller les consciences quand elles ne sont pas prêtes à accueillir d’autres valeurs, sans prêchi-prêcha?

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  7. Pascal. dimanche 22 Mar.20 11:01

    Bonjour

    Je ne crois plus en la troisième solution malheureusement.
    Au vue du résultat des élections dans le monde, au vue du nombre de Estrosi, Sarkosy, Poutine, Trump, et autre par rapport aux Gandhi et abbé Pierre….

    Cela fais trente ans que l’on parle sérieusement de.cette solution mais.personne écoute et continue a voté a côté.
    Réaliser le livre « L’Utopie » de 1516, et depuis ?

    Gaia, la terre, a vécu plusieurs cataclysme majeur et est toujours là, elle se remettre de tous, c’est juste une question de temps.

    Je regrette pour moi et mes enfants, je préférerais que le monde soit parfait. L’histoire humaine montré que.l’on va jamais dans le bon sens.

    Mais si Gaia, dame nature, ou un de vos dieu en décide autrement je serais très content.

    Merci

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  8. Y. d’Oultremont dimanche 22 Mar.20 10:08

    Si, dans les échanges de biens et services, on instaurait la gratuité totale et absolue, la valeur des choses deviendrait nulle. Et l’égoïsme disparaît naturellement. Ainsi, le matérialisme serait éradiqué. Les ingénieurs et leurs techniciens fabriqueront des ponts, non pour un salaire, mais pour améliorer notre monde, sans oublier personne. Chassons les marchands du temple! Alléluia. Seule la relation empathique aurait une valeur: rendre service à autrui serait le principe unique de loi sociale. Qui a dit «  aimez votre prochain comme vous-même  »? La force de l’amour est la plus puissante énergie de la vie. Pas besoin de preuve scientifique pour justifier l’amour comme seule valeur humaine, éternelle et parfaitement respectueuse de la Nature. Alléluia.

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  9. Doris RENKENS dimanche 22 Mar.20 09:50

    Remémorisons nous la loi de la décroissance de Henry David Thorau du 18ème (excusez moi pour l’orthographe, pas certaine ). Compter sur soi-même pour se nourrir en vivant en symbiose avec la nature comme le prône actuellement la philosophie de la permaculture ! Nombreuses personnes suivent déjà ce courant de par le monde mais ce n’est qu’une poignée actuellement. Je pense que ce pourrait être la solution qui se rapproche de la 3ème solution que vous proposez .
    Dédramatisons aussi la mort, elle fait partie du cycle de la vie et est apaisante. Elle n’est certainement pas un échec comme beaucoup le pense… acceptons la lorsqu’elle frappe à notre porte, elle est universelle et naturelle ! Que la paix soit avec vous qui lisez ces quelques lignes !

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  10. Jocelyne LEFTHERIOTIS dimanche 22 Mar.20 09:39

    Article génial qui correspond tout à fait à ma pensée (même si je n’aurais pas su l’exprimer aussi clairement)…Espérons qu’il y ait un véritable tournant après cette crise, un éveil des consciences de la majorité des humains mais ça sera difficile …

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  11. DEJASSE dimanche 22 Mar.20 09:31

    C’est bien ce que je pensais, mais en moins intelligent !…

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  12. chrystiane MOUNIER dimanche 22 Mar.20 09:17

    Je souhaite et partage bien entendu la troisième solution….mais sans être un perroquet, je pourrais reprendre mot par mot la réponse d’HENRY

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  13. Laurent Beudels dimanche 22 Mar.20 05:45

    Tout simplement d’accord
    Cette crise est pour moi une opportunité de repartir sur de meilleurs bases
    Car autant le communisme en tant que système a montre clairement ses limites dans les années 1990,
    Autant le capitalisme sauvage actuel est à bout de souffle
    L’accumulation d’argent virtuel par une minorité et le maintient dans la crise économique d’une majorité par le détricatoge de systèmes sociaux, des soins de santé, de l’environnement, de la culture, de l’enseignement,….pour des raisons budgétaires qui ne font que servir cette minorité qui accumule
    Tout ça montre aujourd’hui très clairement la défaillance globale du système

    La solution est donc une troisième voie à construire avec urgence mais aussi réflexion

    Les 1450 € donnés par notre gouvernement belge à ceux qui sont empêchés de travailler c’est le premier pas vers le revenu universel dont on parle temps
    La facilité avec laquelle la nature a repris ces droits en quelques jours alors que personne ne pensait possible de s’attaquer efficacement au réchauffement climatique
    La solidarité qui s’installe non seulement entre les gens mais également au plus haut niveau entre des pays pourtant opposés il y a encore un mois

    Tout ça sont des signes encourageants

    A voir si tout cela ne restera pas une réaction de crise mais pourra être le terreau d’un réel changement de société

    Répondre
  14. François dimanche 22 Mar.20 02:48

    Oui c’est vrai , une société basée sur l’amour , l’indulgeance,le partage pour les plus démunis réellement , avec arret complet d’une société de profis coûte que coüte rendrai aussi la planète plus propre naturellement car notre mode de vie et de penser lui permettra de le réaliser sans pour cela que ça nous prenne la tête

    Répondre
  15. Mahieu dimanche 22 Mar.20 02:28

    Je me joins à votre texte.

    Répondre
    • Geoff dimanche 22 Mar.20 11:20

      Ne parlons pas d homo sapiens sapiens mais plutôt d homo stupidus… La réalité est là, l homme depuis trop longtemps à été conditionné par le système afin de nous transformer en pantin… Il vit sa vie matérialiste et vit de ses peurs par craintes de tout perdre… C est la fin de la socialisation… On nous parle de distanciation mais combien le font ou le faisaient depuis des années déjà vive Facebook.. Tout ces jeunes devant leur smart au lieu de discuter… Mais comment faisait on avant ??
      La société nous a endoctriné à avoir peur, peur de perdre nos bien matériel, peur de la mort,… La religion me direz vous nous apporte un exutoire mais n oublions pas que la aussi il s agit d un endoctrinement créé par des hommes qui étaient avides de pouvoir… (« tiens ne choisissons pas cet évangile il ne nous apportera rien, celui la par contre ça devrait aller »)
      Le malheur réside dans le fait que beaucoup de personnes ne voient pas la réalité en face mais seulement leur réalité, comme dans l allégorie de la caverne de Platon. Mais il n’est pas trop tard pour changer nos opinions.
      L univers, la nature sont nos uniques parents et malheureusement beaucoup l ont oublié. Nous sommes tous enfants de la terre. Et qui dit enfant, dit innocence, on s emerveille devant la nature les yeux rempli de rêves. « bien heureux les simples d esprit » devrait plutôt être traduit par bien heureux les personnes qui ont appris à penser par eux mêmes et à continuer à rêver en marge du système. Parce qu à partir du moment où nous avons gardé notre âme d enfant, nous gardons notre innocence.

      Depuis quelques temps, beaucoup de personnes ressentent cet appel de la terre et les plus sensibles le ressentent encore plus .
      Nous devons nous serrer les coudes afin d envoyer un maximum d ondes positives, que ce soit par la méditation ou la prière, notre parole sera entendue j en suis sûr.
      N’oubliez pas que l’univers est fait contradiction. Matiere-antimatiere, bien-mal, joie-tristesse, amour-haine, yin et le yang, mort et vie…
      Je ne suis pas gourou mais cela fait maintenant une année que je pratique certaines méditations positives.
      La terre est une entité à part entière, elle est vivante. Essayons de sauver notre mère.

  16. Ursula Visé samedi 21 Mar.20 22:55

    Je partage entièrement le point de vue énoncé ci-dessus.

    Répondre
  17. Adam samedi 21 Mar.20 22:29

    Je suis entièrement d’accord avec cet écrit. Simplement j’ai peur qu’une partie (j’avais envie de dire une majorité) des humains ne soit pas encore prêts. Je suis très inquiète, j’espère à tort, sur notre qualité de notre niveau de conscience. Je souhaite tellement me tromper.

    Répondre
  18. RAGONNEAU samedi 21 Mar.20 20:34

    C’et article est criant de vérités et beaucoup de ces propos et analyses ne m’ont jamais quitté cela depuis ma plus tendre enfance…..La nature à toujours été mon opium….

    Répondre
  19. jenny sirena samedi 21 Mar.20 18:29

    Complètement d’accord et comme disait Albert Einstein « le 21ème siècle sera spirituel ou ne sera pas »

    Répondre
    • Monique Crochet samedi 21 Mar.20 19:48

      euh…. je crois que c’était Mauriac qui a dit cela! Au final, peu importe…

    • Jocelyne LEFTHERIOTIS dimanche 22 Mar.20 09:34

      et moi je croyais que c’était Malraux… mais peu importe comme vous dites, c’est vrai …

    • Geoff dimanche 22 Mar.20 09:42

      Ne parlons pas d homo sapiens sapiens mais plutôt d homo stupidus… La réalité est là, l homme depuis trop longtemps à été conditionné par le système afin de nous transformer en pantin… Il vit sa vie matérialiste et vit de ses peurs par craintes de tout perdre… C est la fin de la socialisation… On nous parle de distanciation mais combien le font ou le faisaient depuis des années déjà vive Facebook.. Tout ces jeunes devant leur smart au lieu de discuter… Mais comment faisait on avant ??
      La société nous a endoctriné à avoir peur, peur de perdre nos bien matériel, peur de la mort,… La religion me direz vous nous apporte un exutoire mais n oublions pas que la aussi il s agit d un endoctrinement créé par des hommes qui étaient avides de pouvoir… (« tiens ne choisissons pas cet évangile il ne nous apportera rien, celui la par contre ça devrait aller »)
      Le malheur réside dans le fait que beaucoup de personnes ne voient pas la réalité en face mais seulement leur réalité, comme dans l allégorie de la caverne de Platon. Mais il n’est pas trop tard pour changer nos opinions.
      L univers, la nature sont nos uniques parents et malheureusement beaucoup l ont oublié. Nous sommes tous enfants de la terre. Et qui dit enfant, dit innocence, on s emerveille devant la nature les yeux rempli de rêves. « bien heureux les simples d esprit » devrait plutôt être traduit par bien heureux les personnes qui ont appris à penser par eux mêmes et à continuer à rêver en marge du système. Parce qu à partir du moment où nous avons gardé notre âme d enfant, nous gardons notre innocence.

      Depuis quelques temps, beaucoup de personnes ressentent cet appel de la terre et les plus sensibles le ressentent encore plus .
      Nous devons nous serrer les coudes afin d envoyer un maximum d ondes positives, que ce soit par la méditation ou la prière, notre parole sera entendue j en suis sûr.
      N’oubliez pas que l’univers est fait contradiction. Matiere-antimatiere, bien-mal, joie-tristesse, amour-haine, yin et le yang, mort et vie…
      Je ne suis pas gourou mais cela fait maintenant une année que je pratique certaines méditations positives.
      La terre est une entité à part entière, elle est vivante. Essayons de sauver notre mère.

  20. Jacques samedi 21 Mar.20 18:03

    Mondialisation et surpopulation, deux situations problématiques qui doivent être très sérieusement revues et corrigées sinon l’espèce humaine disparaîtra! Ce n’est qu’une question de temps!

    Répondre

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